Justine, est l'assistante de Marie-Hélène.
ça c'est la définition minimum, autrement on pourrait écrire un livre, bien sûr.
C'est aussi, de ses Sensibles qui ont appris à cacher leurs vulnérabilités.
Elle, quand la ruche ferme ses portes, elle court dans son atelier et jusque tard dans la nuit fait des photos.
Mais comme nous tous ses photos la révèlent plus qu'elle ne le croit.
et l'autre Justine côté ombre.....
Voilà, cela fait plusieurs mois que j'ai découvert vos oeuvres, non pas par hasard car je n'y crois pas, mais si je suis resté sur votre site parmi tous ceux que j'ai visité c'est bien par la force et l'émotion que transpire vos sculptures.
Je suis tombé en extase et j'ai eu un coup de foudre pour la Receleuse de rêves, ce bronze est arrivé dans ma vie comme un rayon de soleil, ma redonné cette force de vivre moi qui n'y croyais plus, au moment ou ma vie sentimentale s'en est allé.
J'ai eu la chance de vivre une passion amoureuse, celle qu'on ne voit qu'au cinéma ou dans les livres, mais comme toute passion qui se vit intensément, la déchirure est a la hauteur. Enfin tout cela pour vous dire à quel point j'aime ce que vous faites les raisons qui m'ont attiré vers vos oeuvres, la force quelles dégagent, la sensibilité que vous exprimez, la douceur et le charme qu'elles transpirent.
De plus, en lisant votre blog ce matin dont je vous remercie de me l'avoir fait connaître, je découvre que votre fille fait également un merveilleux travail artistique. Je suis moi même un passionné de photos et cela depuis mon plus jeune âge. Je ne peux que la féliciter et l'encourager à suivre sa voie, elle a en elle cette vision très particulière et artistique, cette force et ce charme, la grâce de la beauté et la sensibilité d'une âme pure, que seul les gênes familiaux peuvent transmettre.
Je me réjouis à l'idée de pouvoir découvrir son travail à travers votre journal et vous remercie de tout ce que vous m'apportez toutes les deux.
Bien amicalement
Thierry
Rédigé par : MEISSL | 02 mai 2005 à 10:14
Il arrive que des oeuvres entrent en écho avec ce que nous ressentons profondémént, et effectivement ce n'est pas un hasard.
Ce qui s'exprimait dans cette sculture était un ressenti proche du vôtre, mais pour des raisons différentes, mais c'était aussi un temps de solitude, de chagrin et de repliement sur soi.
En ce qui concerne nos passions amoureuses ou autres quand elles se terminent, la seule chose qu'on puisse en dire c'est que nous avons la chance de les avoir vécues.
Toute mon amitié, et plein d'autres amours
Marie
Justine je pense vous répondra elle-même, sur la partie du message qui la concerne
Rédigé par : marie | 03 mai 2005 à 07:45
J'aime ce que tu fais parce que c'est de la "haute fidélité " de ce que tu es. Perfectionniste en douceur et sans agressivité aucune, ton expression sait s'imposer aussi simplement que Nature.
Tu as su inspirer le respect, l'admiration, le questionnement sur soi et sur tout.
Au même moment, tu es porteuse d'espoir dans un monde qui implose.
Les Grecs t'auraient élevée dans leur monde de divinités, mais je savoure le bonheur que la toile a suscité.
Rédigé par : Youssef | 10 mai 2005 à 05:05
Cher Youssef,
Je n'ai pas pu trouvé ta note, dans le journal.
Et j'en suis doublement désolée.
Tu n'as pas oublié de la poster?
A bientôt, je t'embrasse
Marie
Rédigé par : Marie | 11 mai 2005 à 07:36
Bon, autant pour moi, je viens de retrouver ta note et pourtant je l'ai cherchée hier, toute la soirée....
Bon, mis à part les grecs dont je doute qu'il m'aient autant admirée....
Ce qui est juste dans ton commentaire, c'est que jamais dans ma vie je n'ai pu tricher avec moi-même dans mon travail, jamais. D'ailleurs je n'en aurais eu ni l'envie ni même la possibilité je crois.
Quand au questionnement sur soi, aux doutes, au questionnement sur la vie, grâce ou disgrâce c'est intimement mêlé à ce que je suis, à mon fonctionnement intime.
Hélas dans ma vie ou mon travail, je n'ai jamais su tricher, ou simplement taire un questionnement, ou "faire joli", pour faire joli, ou me faire passer pour ce que je ne suis pas.
Je dis hélas parce que ça rend quelquefois les rapports humains assez difficiles.
Pour moi, c'est vraiment de l'énergie, du temps et des calculs qui n'ont aucun intérêt, tout simplement parce que toute cette énergie nous est nécessaire à être seulement ce que nous sommes, même si c'est bien en dessous de nos espèrances....
Je t'embrasse
Marie
Rédigé par : Marie | 11 mai 2005 à 07:56