Pendant que je travaille ici, à la fonderie s'élabore "Le rêve du philosophe", une composition sur trois étages dont on ne voit qu'une partie ici.
D'une légende intérieure qu'on s'invente, à la terre au bronze, se construisent les rêves des artistes.
C'est toujours un miracle, une métamorphose qui me laisse toujours incrédule, une transmutation magique....
Bonjour.
Au risque de froisser encore votre modestie, je vous trouvait déjà une parenté artistique avec Camille Claudel - Mais là c'est avec Rodin que nous pouvons la voir.
Bien à vous.
Rédigé par : Prince Taliesin | 20 octobre 2005 à 17:04
Bonjour Marie
Rodin , Claudel , que de compliments qu'il faut accepter ; mais la métamorphose n'est pas un miracle c'est un état tout court , une suite logique , une transmutation , une libération qui apaise et qui donne une grande légèreté à vos personnages , qui vivent avec une âme bien grande déjà , et c'est ce que l'on aime , de la matière à la pureté , que de chemin !
au plaisir de vous entendre et de vous lire et d'admirer l'Artiste ; je vous embrasse Marie : Jean louis
Rédigé par : GABORIT jEAN LOUIS | 20 octobre 2005 à 18:11
Un régal pour les yeux....
L'équilibre est la, la maturité également, la légereté et la grace cotoient la profondeur de la pensée...
Un seul mot....Encore...
Grégory
Rédigé par : Grégory | 20 octobre 2005 à 20:39
En plus aujourd hui c est mon anniversaire...de si belles images ca fait du bien aux yeux et a la tete
Rédigé par : Grégory | 20 octobre 2005 à 20:45
à Prince Taliesin
merci, mon Prince...en vérité je suis très touchée, d'une manière générale par la bienveillance et de l'indulgence que chacun me témoigne et de la vôtre en particulier...Il est des moments où tout cela vous arrive comme de l'eau fraîche sur une terre qui avit bien soif de bienveillance
merci Marie
à Jean Louis
Comme très souvent, vous me connaissez si bien,au fil de nos conversations, que bien sûr vous savez que cette "metamorphose dans ma sculpture ne tient ni de la volonté, ni de l'accident, ni du miracle, mais d'un long chemin parcouru dans l'ombre de sa reflexion personnelle.Une porte en soi sur laquelle on avait mille fois buté et qui s'ouvre enfin, peut être parce que la vie nous a jugé assez mûr pour voir ce qu'il y avait dérrière, pour parcourir ce bout de chemin là.
Je vous embrasse jean-louis
marie
Cher grégory
merci, ce n'est pas l'égo qui reçoit et accepte le compliment, c'est la part insécurisée de vous même, c'est elle qui se répare avec le baume de vos mots
merci
pleins de bisous
marie
Rédigé par : marie | 25 octobre 2005 à 20:19
Nous étions comme une terre trop sèche et voila que la pluie est revenue.
Et nous sentons cette odeur de terre si particulière des soirs d’été après la pluie.
Merci de nous alimenter en pluie d’âme bienveillante…
Antoine, Monsieur Louis, Victor.
Rédigé par : alain | 05 mai 2007 à 12:09