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14 février 2006

Commentaires

Claude

Bonjour Marie,

Moi aussi, j'ai un pincement au coeur, mais parce que votre terre, votre oeuvre première n'existe plus. J'essaie d'imaginer la douceur et la finesse du grain de sa "peau", son parfum "de sentier humide", la sérénité de son visage,...

Je vous embrasse comme j'embrasserais votre terre avant le travail du mouleur, avec la même délicatesse.

Claude.

marie

Cher Claude
merci pour ce baiser là

marie

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