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28 septembre 2006

Commentaires

sven

L'homme nomade allongé près de la femme riveraine...je pense à Saint John Perse.Des brides de poèsies car, vois-tu, je n'ai pas voulu relire "Amères" ou le "Forçat innocent" pour ne pas détruire le "velouté des choses" que j'avais touché à leur première lecture, il y a bien longtemps... oui, il n'y a rien qu'on puisse faire avec la volonté, rien que "se défaire de son or, en l'honneur de la mer"...
(S.J.P.)et tout le reste, nous est donné.
Bon, je sais pas trop ce que je viens de te dire ! trop content que tu sois de retour même si je sais qu'on atteint jamais le port.. sven

marie

Sven
c'est aussi un bonheur de te retrouver,mettre les mots en désordre, ne pas trop savoir ce que l'on dit, ça ne fait rien le plaisr de se retrouver permet aussi ce bonheur là.
t'embrasse
Marie

Delphine

Il est des gens, comme nous, qui on un peu trop bougé pour être complètement de qq part. Du coup, il y a plein d'endroits où on se sent chez soi, mais on se sent aussi de nulle part, c'est la contre-partie. Moi, je me sens riche de tous ces endroits qui m'ont construite.

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