Depuis quelques jours impossible de me connecter.
pardon à ceux qui m'ont envoyé mails ou commentaires mais ....je ne pouvais pas vous répondre
En revanche, à part mon bras qui me fait un peu souffrir
samedi, dimanche et hier lundi ont fait progresser ma "Nomade."
Je pourrai bientôt vous la montrer toute entière.
Hier toute une longue jounée, m'a permis de la "vêtir" si peu.... de quelques bout de tissus, de retravailler ses jambes et ses pieds...
la journée d'aujourdhui sera consacrée à la chevelure et aux mains...
J'ai hâte de la rencontrer, car pour le moment je travaille en laissant certaines parties couvertes...pour empêcher le déssèchement de la terre.
je ne la découvre entièrement que rarement pour vérifier les proportions...
Il y a des jours où je suis si heureuse de retrouver nos rendez vous!!!!
Bonjour Marie,
je suis content que tu ailles mieux et conscient maintenant que cette sculpture t'a forcée à te dépasser... on y retrouve toujours présents les thèmes des liens, de la nudité, de la féminité, une petite contradiction aussi,peut-être, entre ce corps offert, libéré de ses entraves et ce regard tourné vers l'intérieur prisonnier d'une secrète blessure... Quelqu'un de nomade, c'est quoi pour toi ?
Rédigé par : sven | 14 novembre 2006 à 08:26
j'ai hate moi aussi de la voir entièrement,elle doit etre super jolie.
mais qu'elle passience pour lisser la nomade , je comprend tes douleurs ds le bras,mais courage le resultat est tellement beau.
bisous marie
Rédigé par : gigi | 14 novembre 2006 à 13:39
à Sven
je ne vois pas le corps comme offert, dans aucune de mes sculpture ..je le vois là, présent, aussi présent que peut l'être un arbre en été, un animal...un être humain dans sa densité vivante.... tellement vrai qu'il n'a pas un regard pour le monde...le monde c'est son histoire personnelle, secrète.
C'est à l'intérieure que les choses se vivent, le corps existe simplement.
Etre Nomade c'est justement n'appartenir à rien, ni a personne, c'est juste arpenter son âme comme si c'était, ce que les autres appellent le monde.
je t'embrasse
Sven
marie
à Gigi
c'est l'infinie patience des sculpteurs,ou des artistes en général, aucune fatigue ne pèse face à la nécessité naturelle de créer...c'est quelquefois après qu'on se demande pourquoi ça semblait si urgent, si important au point qu'on accepte même pas de tenir compte de sa fatigue, ou de ses douleurs... je n'ai pas la réponse
baisers
marie
Rédigé par : marie | 14 novembre 2006 à 17:44