Voilà. Les sculptures sont sous plusieurs couches de tissus humides, eux même recouverts de bâches de plastiques, les outils traînent un peu partout, mais je n'ai pas eu le courage de tout ranger...
Les lumières sont éteintes...
L'horloge au mur n'égrènera ni le temps ni les heures..de l'atelier...
La fenêtre est ouverte ... je m'envole pour une semaine
Bon vol Marie, si j’ai cinq minutes je passerai faire un peu de rangement mais je ne te promets rien...
Bises voyageuses
Rédigé par : Daniel | 02 février 2007 à 21:35
Bon vol Marie, je me joins à Daniel... mais je le laisse ranger ;°) il est fin je crois, il saura où vont les choses sans déranger ton ordre à toi...n'est ce pas Daniel ?
Des bises dans le vent du soir...sourire
Rédigé par : pam | 03 février 2007 à 00:38
à daniel
surtout tu mets bien à part les outils en bois et ceux en métal...enfin si tu as le temps!
bisous doux
marie
à pam
à bientôt ma belle on boira un thé dans ton atelier ou le mien
bisou
marie
Rédigé par : marie | 03 février 2007 à 05:57
Liebe Marie Paule,
Pendant le vol au dessus de la courbure de la terre, la pensée du corps continue infatigablement son travail. Il y a là une travailleuse idéale qui ne coûte rien et qui, parfois, produit. C'est le rêve du capitaliste que de posséder une telle force de travail. La Chine permet encore au capitaliste de poursuivre son rêve: s'enrichir tout en ne payant pas le travail.Le paiement du travail créatif est une bonne façon d'aborder la question.
La pensée du corps poursuit ainsi son travail: y a t-il, pour une créatrice, une possibilité de traverser le fantasme qui structure son désir créationniste et sa réalité du monde?
Le dessin, la peinture et la sculpture procède d'une pulsion mise en forme par un savoir-faire sur la ligne, la couleur et le vide.
Un objet est toujours proposé à la trajectoire de la force pulsionnelle. Dans le cas précis de la pulsion questionnée il s'agit d'une pulsion anale. Un peintre sait d'un savoir sûr l'écart entre une croûte et un tableau, entre l'objet anal du savoir-faire et l'objet invisible du désir créatif.
C'est bien le changement d'objet dans le parcours pulsionnel qui reste une question énigmatique dans le chantier actuel.
Con affetto
Alain Henri H.
Rédigé par : Alain Henri Himmelweg | 03 février 2007 à 08:23
Merci Marie, et tu sais bien de quoi je veux parler...
J'en suis un peu resté Baba, à vrai dire...
Dire que j'ai franchement apprécié serait peu révélateur de ce que j'ai ressenti !!
Je regarde ce qui pourrait te convenir, même si tu penses que le Gros Ballon Rouge à lui tout seul pourrait distraire ton âme d'Enfant :)
Bon séjour, et j'arrose tes plantes si tu veux, nom d'un serpentin !
Con fettis
Bisoux ++
F@brice
Rédigé par : F@BRICE | 03 février 2007 à 13:43