De la volupté de se sentir femme, de la taille aux hanches.
De la cambrure des reins, aux fossettes.
De la douceur des courbes sans cesse inversées.
De cette chair dense qui n'était que pleins et déliés comme l'écriture d'un amant sur une lettre.
Page où l'encre glisse sur les courbes des mots.
Le silence blanc de l'été, sur sa peau... lui parlait sans discontinuer de de cette volupté là.
Petite Marie,
Tant de volupté?
Je la regarde, elle est devant moi naturelle et tellement vraie.
Il n' y a plus de modèle, elle est réelle. Sa cambrure me fascine.
J'imagine son regard empli de silence, de sérénité; c'est Divin!
Imagines tu vraiment tout ce que tu nous donnes à voir, à vivre
et réfléchir?
Bonne soirée à toi petite Marie et merci. Baisers.
Bibichka
Rédigé par : Bibichka | 13 septembre 2006 à 17:38
Chère Bibichka
je suis émue par ton message...je me dis que c'est un beau métier que celui qui donne à voir,à rêver et peut être à réfléchir...je sais comment tu réussis capter le plus infime bonheur, que le journal soit l'un de tes petits bonheurs me comble
je t'embrasse fort
marie
Rédigé par : marie | 13 septembre 2006 à 18:58
Bonjour Marie
je reste ébloui par tant de réalisme et de de pureté , on dirait de la soie emprunte de beauté , de douceur , de force dans la chair et de sérénité , il n'y a plus ni modèle , ni sculpture , il y a l'un dans une perfection , baisers doux JL
Rédigé par : Jean Louis | 15 septembre 2006 à 13:01
Tinte le titre du premier nu au pastel que j'ai fait et c'était aussi des fesses.
on a la même idée de l'image de ka volupté.
Rédigé par : peintrefiguratif | 18 septembre 2006 à 20:01