De la tête au pied, être dans son dessin, l'oeil aiguisé et la main docile, ne pas perdre la ligne, ni le volume, ni le détail.
Prendre du recul pour évaluer le placement des lumières et des ombres, puis revenir tout près souligner le détail, l'atténuer, le révéler...
C'est une sorte de chorégraphie répétitive, hypnotique qui se fait devant le chevalet.
Une danse primitive.J'aimerai peindre mes semelles en blanc pour voir .....
je suis particulierement sensible aux nus, et aux visages, il y a quelque chose dans les yeux de celui ci qui captive..
Rédigé par : arcadia | 01 juillet 2005 à 00:39
bonjour Marie
cette prise de conscience dont vous parlez , est le travail en profondeur , lié à la matière , au façonnage des formes , une partie conciente , l'autre dans l'inconscient est ce qui se concrétise aujourd hui , et les dessins ont beaucoup évolués dans la fermeté et le réveil des personnages . votre coup de crayon a pris de l'assurance et de l'intensité , et les détails prennent vie .
bonne journée , je vous embrasse jEAN LOUIS
Rédigé par : GABORIT jEAN LOUIS | 01 juillet 2005 à 10:38
cher jean-louis
pardon de ne pas avoir répondu rapidement à ce commentaire, mais j'ai tant travaillé ces derniers jours que j'ai à peine pris le temps de faire autre chose....ce matin je me suis levée avec un nouvelle approche du travail de dessin pour l'expo,et j'enrage parce que je n'ai pas là, tout de suite, le matériel adéquat pour faire des essais ... vous le voyez rien ne guérit de ce besoin de créer, cette urgence à faire les choses, heureusement que vous êtes souvent mon élément modérateur.....
avec toute mon affection
je vous embrasse
Marie
Rédigé par : marie | 02 juillet 2005 à 08:57
c'est très doux,subtil,léger...j'y vois beaucoup de tendresse.
splendide
Rédigé par : lucie | 13 novembre 2005 à 16:23