Je ne m'en étais pas rendu compte, c'est Marie-Hélène qui m'en à fait la remarque; ce qui est entré dans ma sculpture avec les hommes c'est le mouvement...et bien sûr à la suite dans mes sanguines....
Il me semble impensable que je ne m'en sois pas aperçue seule...et pourtant..."c'est bien moi qui écrivait il n'y a pas si longtemps " je ne connais rien du mouvement de la vie, je ne connais que son immobilité..."
Comment et pourquoi cela est advenu, aucune idée, comme toujours je le comprendrai sans doute après, quand je ne serai plus dans le "faire", c'est toujours quand l'exposition est terminée et que je la vois dans son ensemble que je découvre son sens caché...
Marie , bonjour
le mouvement est une distention , une prise de conscience et une extrapolation . Ce mouvement est issu de la matière que vous avez travaillez pendant des mois et qui aujourd hui vous permet cette aisance , cette mobilité si naturelle chez vous , ce que vous exprimez spontanément .
beaucoup de force et de douceur à la fois , bien amicalement à vous Marie , je vous embrasse . J louis
Rédigé par : GABORIT jEAN LOUIS | 29 juin 2005 à 18:20
cher jean-Louis
Oui, bien sûr,mais je me demande aussi si cette impression de libération que j'ai éprouvé en explorant un nouveau territoire de sculpture, ne serait pas aussi inconsciemment ressurgi dans les dessins.. une sorte de libération intérieure,enfin peu importe je pourrai mieux juger à la fin, on en reparlera ensemble,promis.
je vous embrasse fort
Marie
Rédigé par : marie | 29 juin 2005 à 22:21
Carissima marie,
Du mouvement de la différence et de l'immobilité de l'identité.
Que le corps de l'homme puisse introduire le mouvement dans la sculpture et le dessin est une énigme. La ligne souple des vertèbres semble émerger des tissus immobiles. Le cache-sexe est peut-être le centre de l'énigme.
Amitiés
Alain
Rédigé par : Alain | 30 juin 2005 à 10:07