C elle ci dort comme écrasée sous la lumière. Il en est de même à la maison, je buvais un thé il y a à peine cinq minutes sur les marches de la maison, et soleil mis à part, c'était pareil. Les vélos étaient au repos sous un arbre comme des chevaux au pré, deux chats se sont étirés lentement, en sortant de dessous un buisson, sont venus vers moi, comme dans un film au ralenti,même le tuyau d'arrosage avait l'air d'un serpent endormi, roulé sur lui même.
Un jour je vous montrerai les marches de la maison, c'est finalement, là que tout ce passe en été..... peut être parce qu'on est nulle part, ni dans la maison , ni dans le jardin....
Liebe Marie,
Les marches du dehors sont effectivement un lieu très important.
Assis sur les marches nous attendons l'arrêt de l'automonobus qui nous emportera vers on ne sait où, vers là où on ne sait pas ...vers le nouveau.
Con affetto
Alain
Rédigé par : Alain | 14 août 2005 à 08:32
:)
Rédigé par : Folie Privée | 14 août 2005 à 18:29