Passage éclair chez l'ami Olivier à la fonderie DELVAL,lui je l'adore, bisous qui piquent d'abord,puis on regarde le travail fait ou en cours, on papote on monte dans son bureau, on paie les factures...... aujourd'hui grand jour! au bout de dix ans, il a enfin pensé à acheter du thé pour quand je viens!!
Pas de bol on avait rendez vous après, pas eu le temps de le boire .... mais enfin du thé à la fonderie, mon Olivier, ça c'est classe.......
Repas avec nos galeristes ( Honfleur, Paris, ST Paul, et Palm Beach etc...) je souhaite à tous les artistes d'avoir des rapports comme on en a avec eux.
Je veux pas dire par là que ce soit tous les jours du sirop mais j'ai le sentiment que depuis 10 ans nous construisons quelque chose de cohérent dans le respect et l'affection...quelque chose de solide, de professionnel et d'affectueux à la fois....je suis rentrée fatiguée, mais un peu plus sereine...c'est si rare
Bonsoir Marie
comment fais tu d'aussi belles choses ( pardon , ce n 'est pas réducteur)
comment fais pour ne pas arrêter de faire d'aussi belles choses ....
comment et ou trouves tu l'inspiration , cette divine inspiration qui t'habite et qui te donne des ailes , pour toujours nous donner tant et tant de douceur , de force et de tendresse dans tout ce que tu touches ?? je t'embrasse , et bon courage pour tout le reste ...bien tendrement
Rédigé par : gaborit Jean - louis | 10 mars 2006 à 19:49
Bonsoir Marie,
Je suis rassurée de savoir que ça n'est pas mon internet à moi qui ne voulait plus que je vous partage mon émotion et mon émerveillement quotidien. Combien de messages se sont-ils envolés...
Je viens de découvrir, de m'emplir de vos 4 dernières notes, de vos mots si joliments assemblés et de la douceur qui émanent de vos contes. Et les messages des petites lucioles qui vous entourent, si touchants avec des mots si justes qu'ils me paralysent parfois.
Et chaque jour, je loue cet instant où j'ai poussé la porte (virtuelle) de votre atelier. Vous êtes un être si riche.
J'ai commencé un petit livre aujourd'hui et le parcourant, je n'ai pu m'empêcher d'imaginer ce qu'il vous inspirerait. "Le nombril des femmes" de Dominique Quessada. Le sous-titre est "portraits croqués". Parfois un peu ironique mais toujours très respectueux et admirateur. Ce sont de courtes réflexions, de brèves images tellement vivantes qu'elles m'ont conduites tout droit jusqu'à vos beautés de terre (puis de verre parfois).
Je vous embrasse.
Valy
Rédigé par : Valérie la lectrice | 10 mars 2006 à 23:00
à Jean louis
je regarde avec le coeur,j'aime profondément ce que je vois,je touche la peau des evenements , des rencontres , je la caresse avec douceur et je rends toujours ce que l'on m'a donné en amour douceur et tendresse
je t'embrasse
marie
à Valy
il m'arrive ausssi de pousser doucement la porte de vos vies quand vous m'y autorisez , par un mot , un livre aimé, un message, et la richesse est là derrière toutes les portes...
je lirai "le nombril des femmes " demain si j'ai le temps d'aller en ville , j'essaierai de le trouver
merci, bisous
marie
Rédigé par : marie | 10 mars 2006 à 23:21