Deux fragments de sculptures pour lui rêver une vie.
et puis un fragment de vie, de l'atelier aujourd'hui.
La petite main de l'Enfant-liane, et la délicatesse des grandes mains d'Antonio, pour caresser du bout de l'outil, les phalanges d'argile.
Nous avons énormément travaillé, lui sur les belles enfants, et moi sur la sensualité de la mystérieuse sculpture...
C'etait bien de travailler comme ça.
A Marie
a travers cette coupante cloison de verre, je ne peux qu'imaginer ... frôler des images, laisser s'imprimer des mots... il manque le geste humain, le geste des mains, celles qu'on prend et qu'on emprisonne dans les siennes pour retenir un peu plus l'émotion, et celles qui s'ouvrent car elles ne peuvent plus la contenir. Il y a tant de mots contenus dans les mains et qu'on ne pourra jamais dire... tendrement sven
Rédigé par : sven | 13 septembre 2006 à 21:08
Non on ne pourra jamais dire...ni la mémoire des mains, ni la consolation de la caresse,ni la soie des sensations... ne reste plus qu'à nous toucher du bout des doigts..pour partager les émotions..
tendresse
marie
Rédigé par : marie | 13 septembre 2006 à 21:17
effleurer : de la magie et de la sensualité dans les mains et tout ce qu'elles peuvent donner d'émotion et de sensations inexprimables . remercier le ciel de tant de dons pour créer et caresser
Rédigé par : Jean Louis | 15 septembre 2006 à 13:16