Je ne sais pourquoi aujourd'hui je la vois comme un petit derviche tourneur.
Enfermé dans le périmètre imaginaire de son amour.
Tournant lentement puis de plus en plus vite, inspirée, extatique.
Coulant comme au fond de l'eau.
Dans des cercles concentriques de plus en plus fuyants, de plus en plus étroits.....
Seule en elle même.
Comme toujours.
Seule en elle même.
Se noyant.
non non elle ne coulera pas ni ne se noira ... en admettant qu'elle soit un temps soi peu aspirée par le tourbillon, elle remontera toujours à la surface car les racines ça flottent !! Sortie, de ce voyage dans l'abîme, elle se réchauffera des amours qu'aujourd'hui elle ne voit plus. bisous
Rédigé par : odile | 07 juin 2007 à 13:15
à Odile
Tu avais raison, elle n'est pas de celles qui se noient.....
Elle est de celles qui cherchent la lumière
je t'embrasse
marie
Rédigé par : marie deville chabrolle | 07 juin 2007 à 15:57