Ce sont celles que vous ne verrez jamais en galerie. Celles peut-être que j'aime le plus.
Les fragiles, les malmenées, les terres perdues qui nous reviennent quelquefois de chez le mouleur.
La première, je l'avais appelée "La reine Margot"... titre éphémère pour sculpture disparue.....
La seconde est comme ces anciennes danseuses dont on dit qu'elles ont été très belles...
Elles nous échappent comme les souvenirs des êtres disparus.
On se souvient de la bouche, des yeux, de presque chaque détail, mais l'ensemble du visage nous échappe toujours...
Magnifique.
Rédigé par : Folie Privée | 23 mai 2005 à 18:04
Un seul mot, mais peut-être celui qui fait du bien ce soir. merci
Marie
Rédigé par : Marie | 23 mai 2005 à 19:11
ces scuptures qui n'existent pas, comme des histoires revées inachevées sont magnifiques d'émotion. elle me semblent des etres de chair brisés, sans vie pourtant leur fêlures sont réelles. Où retournent nos reves brisés à nous? chez quel mouleur?
Rédigé par : raphaelle | 09 novembre 2006 à 21:06
Magasin de bric et de broc d'émotions en tout genres, grand magma d'anciennes belles abandonnées, de fiers torses explosés tombés dans l'oublie, de rictus figés trop précossement disparus. Ces sculptures qui n'existent pas ne seraient elles pas : Nous...
Rédigé par : Jean-Francois | 05 mars 2007 à 10:07
L'Arène Margot.
Rédigé par : Jean-Francois | 05 mars 2007 à 10:10
à Jean François je me pose une question...quand on peut écrire ce premier commentaire pourquoi est ce qu'on use son énergie à écrire le second
"L'arène Margot"
Est ce que c'est vraiment utile?
est-ce toi tu trouves vraiment ça drôle?
ou est ce qu'il est absolument indispensable de parler encore, quand on a rien à dire?
Rien d'agressif la dedans c'est vraiment une question que je me pose?
bisou
marie
Rédigé par : marie | 05 mars 2007 à 18:28
Bonjour Marie, je suis vraiment navré. Dans mon esprit, ce jeu de mots n'etait pas drole, mais plutot triste et résumait assez bien ( dans ma petite tête )mon premier commentaire. Ces sculptures qui n'exsitent pas, qui n'exsistent plus mais que l'on montre à le voracité populaire, sans se soucier de leur amour propre un peu comme à la foire ou aux arènes. Voila Marie, je te fais un énorme sourire.
Rédigé par : Jean-Francois | 06 mars 2007 à 10:26