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05 juin 2005

Commentaires

claude astier

Mon silence
Marie bonsoir
Je n’ai pas répondu à vos commentaires et je vous prie de m’en excuser.
Ce n’est pas ma charge de travail qui fait que je garde le silence.
Mais c’est tout simplement la trouille d’écrire : le manque de mots .la construction du texte et la faute.
Quand je vois la qualité de vos textes je préfère rester dans l’ombre.
C’est toujours pour moi un grand plaisir de découvrir vos notes.
Je vais tenter de vous expliquer ma boulimie de peinture et de bricolages en tous genres.
J’ai cessé de peindre pendant plus de vingt ans à la sortie des beaux arts.
Je pense toujours qu’il n’est pas possible de faire ce métier à mi temps, j’avais donc choisi dans un premier temps un chemin parallèle à la création, puis une route éloignée qui m’a permis dix ans après de pouvoir retrouver un atelier sans contrainte .et de pouvoir travailler en toute liberté
J’ai l’impression d’avoir un retard considérable à rattraper. Donc maintenant je me goinfre.
Je surstocke les notes et docs et je tente de réaliser quelques idées.
Donc ne croyez pas que vos commentaires vont prendre quoi que ce soit sur mon temps ou sur mon travail .J’ai l’impression que ni l’un ni l’autre ne m’appartiennent.
A u contraire ces commentaires me font du bien car dans ma vallée je suis un peu comme un ours éloigné de gens de métier.
Amitiés
claude

marie

Cher Claude
Entre ours et ourse, on devrait se comprendre,
On me reproche aussi de trop travailler,de ne jamais écouter ma fatigue, de ne voir personne en dehors de mon atelier, et des gens du métiers je n'en connais pas ou presque. Alors je viens vous voir le soir, je regarde votre travail et c'est comme si on étais tout les deux dans votre atelier, je me dis mais comment il fait ça? ah ça j'adore, et pourquoi il n'est pas content de celui là? je le trouve bien moi.

Si je ne laisse pas souvent de message c'est pour les raisons expliquées plus haut et aussi parce que quelquefois, je suis juste bien en votre compagnie et au milieu de vos tableaux, alors je reste là un moment, je fume une cigarette tranquille,comme avec un ami avec qui on a pas toujours besoin de parler
je vous embrasse
Marie

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