Il me semble explorer un nouveau territoire. Jamais d'homme avant dans mes sanguines, encore moins de couple....
Depuis que les hommes sont entrés dans la sculpture, ils entrent avec naturel dans les sanguines aussi...
Le monde s'élargit comme un lac qui s'étire...
C'est une douceur nouvelle et un sentiment de tendresse fluide, qui circule librement....
Bonsoir Marie,
Tendresse et sensualité débordent effectivement de vos deux dernières sanguines. C'est un ravissement pour l'oeil et le coeur. Bravo et merci de nous faire partager en avant-première de si belles oeuvres !
Toujours fidèlement et amicalement.
Valy
Rédigé par : Valérie la lectrice | 28 juin 2005 à 20:17
Liebe Marie,
Ce qui frappe, c'est l'emboîtement des corps comme un puzzle de z, d'un parallélisme en z. Entre les bords du masculin et du féminin surgit la fluidité de la navigation. Naviguer avec le souffle dans la différence sexuelle c'est une jouissance de l'étendue, de l'infini de l'étendue.
Amitiés
Alain
Rédigé par : Alain | 30 juin 2005 à 09:46
une photo, un instantané qui accroche le regard et le dirige en douceur d'un point à l'autre de l'espace..
Rédigé par : arcadia | 01 juillet 2005 à 00:40
cher Alain
Je suis vous le savez très sensible au contenu des notes que vous me laissez, au point de vous emprunter tout un texte hier, j'aime quand votre écriture se fait soudain moins distante plus près de la "peau", de votre ressenti, donc du notre aussi.
"entre les bords du féminin et du masculin surgit la fluidité de la navigation" je cris que c'est aussi cela que j'ai entrevu dans mon travail sur les couples, ce souffle, cette fluidité et l'arborescence des possibles
je vous embrasse
Marie
Rédigé par : marie | 02 juillet 2005 à 09:09