Il y a les mots, ceux que l'on se donne, et les silences entre les mots, qui "peut apporter des nouvelles insoupçonnées du monde, des autres et de soi même, pour peu qu'on tende l'oreille."
"Ecrire pour apprendre à écouter la langue respirer là où elle se tait, entre les mots, autour des mots, parfois au coeur des mots"
in" Magnus" de S Germain.
Celles ci se parlent en silence et nous apportent des nouvelles insoupçconnées de leur monde et du mien.
Garder le silence, quel mot étrange ! C'est le silence qui nous garde.
Georges BERNANOS
Rédigé par : Prince Taliesin | 15 octobre 2005 à 09:56
Il nous faut les deux ,mon cher prince,je le crains. Il nous faut bien des mots pour dire la beauté du silence, sa nécessité parfois, et l'espace mental qu'il nous offre...
toute mon amitié
marie
Rédigé par : marie | 15 octobre 2005 à 10:03
Marie, bonjour !
Je passe vous dire ma déception, je pensais qu'avec un peu de chance, nous aurions pu nous croiser à Paris pour l'inauguration de votre expo, mais ... c'est râté, nos dates ne correspondent pas, j'y serai à la fin novembre, ce qui ne m'empêchera pas de venir caresser des yeux vos oeuvres, mais j'aurais tellement aimé vous embrasser "pour de vrai" comme disent les enfants.
Déçue.
*valérie* odalisamelie
Rédigé par : *valérie* | 15 octobre 2005 à 12:13
Bonjour Marie,
Au contraire de Valérie, le changement de date du vernissage est une aubaine... Mélanie et moi serons à Paris le 1er décembre et nous aurons enfin la joie de pouvoir vous congratuler et de vous embrasser, même brièvement. C'est un vrai bonheur.
Bon week-end.
Je vous embrasse.
Valy
Rédigé par : Valérie la lectrice | 15 octobre 2005 à 15:01
bonjour
Ce n'est pas sans une certaine émotion que je vous découvre.
Ce fut un moment de plaisir véritable.
Comme un clin d'oeil de l'enfance que je n'ai pas eu!
Je vous embrasse.
Rédigé par : petite cousine | 15 octobre 2005 à 17:43
Marie,
Zut zut zut, valy à vendu la mèche, plus de surprise donc.
Les deux soeurs d'âme seront en effet présentes pour que ce 1er décembre fasse un peur moin peur.
Qu'importe la date, le rôle d'ange gardien qui me tient tant à coeur imposait en quelques sorte ma présence ce soir là. Et puis de toute façon j'étais bien trop désireuse de vous voir enfin, et totalement incapable de patienter jusqu'à l'expo de Lyon.
Cette foi je sais que j'oserai vous parler, avec un peu d'audace j'oserai peut etre même vous prendre dans mes bras, euh je voulais dire vous entourer de mes ailes.
Il me tarde tant que décembre se lève,
Un petit ange soumis à une terrible angine...
Rédigé par : Mélanie | 18 octobre 2005 à 17:57