je n'ai pas pu vous écrire hier, j'avais une urgence en amour.
Kiya érait dans le jardin, dans la maison, dans la cuisine, dans la baignoire et surtout dans mes bras.
Collecte des noisettes, partie très importante de l'après midi, drame quand même.. nous n'en trouvons presque plus, nous entrons en conflit ouvert avc un petit ver, qui passe toujours avant nous...et laisse un petit trou dans la coque...aussi la récolte fut maigre. Mais les grignoter assise côte à côte sur les marches de l'escalier, un grand moment.
Faire la cuisine ensemble, elle, debout sur sa chaise, et moi devant les fournaux...enfin cuisine basique pâtes- poisson, mais avec elle, qui pipelette à tout va...
Et puis dîner en têteà tête et parler de la Vie, La Vraie, la couleur des chouchous qu'elle a dans les cheveux,de son vélo rouge qui était perdu dans le jardin, enfin vous voyez quoi..et répondre à 25000 pourquoi.
Et puis avoir trois ans avec elle et Jouer. Et caliner sur le canapé. Sentir son odeur de bébé propre qui sort du bain, caresser sa joue, avoir sa petite main confiante dans la mienne.
Voilà pas plus, mais pas moins non plus...prendre ces moments qui ne reviendront plus, et se dire, "je suis riche de ces moments là". Recueillir un fragmentde son enfance et le garder, le serrer très fort dans sa main, pour les jours sans elle.
Rien que du bonheur!!!
c'est clair...c'était une vrai bonne urgence!
Adorable...mignonne comme un coeur.
Xavier
Rédigé par : xavier | 15 octobre 2005 à 09:25
Kiya est magnifique !!
Je crois pouvoir vous affirmer que nous vous octroyons notre pardon pour cette urgence.
N'hésitez pas à réeiterer si besoin était, le motif est sublime !!
Amitiés René
Rédigé par : René | 15 octobre 2005 à 09:31
cher Xavier
je vois avec bonheur que nous avons la même conception de l'urgence
je vous embrasse
marie
à René
merci à vous qui avec bienveillance comme toujours m'octroyez votre pardon...kiya c'est le nom de mon amour, vous embrasse aussi tendrement que moi
Marie
Rédigé par : marie | 15 octobre 2005 à 09:56
Kiya est l'important, le vrai, l'amour, l'amour-pur, l'amour-vrai.
Je ne vous pardonne pas cette urgence, je vous l'envie...
Car il est de ces instants précieux que nuls autres remplacent, ils vous enrichissent, vous Marie, qui me semblez déjà si riche...
Vous nous nourrissez aussi de ces instants là, vous nous rappelez les notres, ils remontent en écho, précieux aussi, si proches malgré les années...
Ah Marie, merci d'être vous, vous êtes une femme extraordinaire aux mille facettes dont il est si bon de voir les éclats de lumière.
Multipliez ces urgences d'amour.
Je vous embrasse.
Chantal
Rédigé par : chantal | 15 octobre 2005 à 12:06