Liebe Marie,
Cette photographie de la "cohérence de la vie" est très émouvante car d'une certaine façon elle représente la grande fragilité de la créatrice en vous. J'y reviens une seconde fois car, pour un étranger, cette voiture accidentée c'est tout à fait vous. Cela a quelque peu hanté ma nuit car, par sa puissance de signifiant, elle interroge la protection de mon armure et de ma visière. Face au monde, je boucle mon armure sur ma poitrine et je rabats ma visière sur le visage.
L'armure est la pierre tombale de ma propre vérité intime et c'est là une culpabilité qui ne laisse pas de repos. L'inquiètude et le souci me rappellent sans cesse ce que je perds de la vie lorsque je me protège.
Accepter d'être exposé à la rencontre du nouveau est un risque considérable et c'est là une totale solitude, souvent accablante. En ce point, on peut mesurer l'innocence naïve de ceux et celles qui s'imaginent en créateur et créatrice sans avoir à en payer le coût psychique.
Con affetto
Alain
Bonjour Marie,
Je lis toujours avec une grande attention votre journal d'atelier et ses riches commentaires. Aujourd'hui, je voudrais simplement vous témoigner ma profonde affection et mon admiration. Aujourd'hui, c'est urgent pour moi de vous le dire.
Je vous embrasse.
Claude.
Rédigé par : Claude | 19 janvier 2006 à 09:34
Ma petite Marie,
Une pensée affectueuse, ensoleillée et pleine de lumière.
Il y a des moments, dans la vie, ou il faut se surpasser encore et encore.
La vie nous offre tellement d'espoirs : une rencontre, un sourire, une parole,
une découverte, le regard d’un enfant.
Marie, le coeur a sa raison que la raison ignore !
Milles baisers .Bibiche.
Rédigé par : bibiche | 19 janvier 2006 à 17:06
à Claude
Merci de votre affection si perceptible dans ce message, je vous embrasse avec beaucoup de tendresse..
marie
à bibiche
je ne sais que te répondre oui certainement tu as raison,un seul problème il y a des jours ou des nuits où je ne ressens rien de tout cela, et pourtant comme je le voudri mais....
je t'embrasse très très fort
Marie
Rédigé par : marie | 19 janvier 2006 à 19:14