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18 avril 2006

Commentaires

chantal

Bonsoir Chère Marie,
Le pire est que Sisyphe fut condamné à cela pour l'éternité... cela voudrait il sousentendre que nous sommes condamnés à répéter et répéter mille et mille fois encore et encore les mêmes mots sans jamais se faire comprendre ?
Je n'aime pas ce poids de l'éternité, petit sourire.
Tu trouves qu'il n'avance pas assez vite ? moi je trouve qu'il avance bien... Je te quémande une photo en pieds de ton travail... et te supplie de ne pas te laisser tenter par le silence...
Je t'embrasse fort.
Chantal

bouldegom

en tout cas, en attendant que Sisyphe rassemble ses forces, je remarque que les pinces à linges servent communément à tenir bien des choses...

marie

dieu nous garde de l'éternité, une vie c'est déjà terrifiant, mais hélas je le crains du moins en ce qui me concerne oui une vie à ne pas se faire comprendre, pas que je sois une artiste incomprise même pas, juste quelqu'un qui est trop en désordre alors personne n'y comprend plus rien, te promet une photo en pied pour demain, pour le silence ....je peux jurer de rien
mais je t'embrasse fort
marie
moi je trouve qu'on ne parle pas assez du génie qui a crée ces petits joyaux que sont les pinces à linge....mais tout de même je suis un peu mortifiée de les avoir laissées sur la photo, quand je vois l'atelier de certains sculpteurs ça fait pas très sérieux mes pinces à linge...
bisou
marie

chantal

Ben moi... j'suis bien contente de voir tes pinces à linge... c'est le seul point commun entre ton atelier et le mien...
Et jusqu'à ce que "Boudegom" en fasse état... j'les'avais même pas vues !

François Germain

"Encore une fois la tentation du silence, devant tant d'impuissance."

Ce serait bien bête parce que tu es vraiment talentueuse, j'ai pris grand plaisir à découvrir ton travail si différent du mien.

Et puis même quand on a l'impression qu'il n'y a plus rien, il reste quand même les mots pour le dire.

Pour ce soir le mien sera : bravo !

chantal

Je suis allée admirer les sites de François Germain... Bravo à lui aussi.
Chère Marie,
Quand tu vas dans tes silences, je me dis d'être silencieuse aussi, de te laisser en paix... puis... pour que tu ne te sentes pas seule malgré ton éloignement, je ne résite pas à t'envoyer une pensée douce et tendre, je la pose là pour que tu saches, des fois que toute seule elle n'aille pas jusqu'à toi.
Je t'embrasse fort.

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