J'veux qu'elle s'envole...qu'elle ne touche plus terre...
Alors on a réhaussé l'armature.
L'apesenteur, l'élévation, je veux la légèreté du bronze.
Plus rien qui lie, qui rattache, qui tire vers le bas....
Elle volera....
Commentaires
ET pourtant.... pourtant....
lorsqu'elle s'envole et qu'il n'y a plus rien pour poser le pied la vie lui offrira moins de marchepieds à l'élévation de son âme.... je préfère sisyphe seul dans son désert avec son caillou dans la bouche.... et sa soif humaine.
SVEN
ça me fait étrangement penser à ce texte, noté un jour, et que j'avais lu ici, si ma mémoire est bonne. Ce texte qui me trotte dans la tête et que j'aimerais bien interpréter en peinture... Mais là, ça pourrait bien être une interprétation sculptée.
"Dans le dos des femmes, il y a toujours la place pour que poussent deux ailes... après, c'est comme pour tout... il faut des dispositions..."
Bravo et bises !
à sven
j'aime à penser que Sisyphe dans ses rêves vole, lui aussi, mais tu verras elle volera comme volent les humains, sur les hasards de la vie, sur tous les désirs d'envol que la vie nous offre
marie
à Léonor
On verra , je travaille peu sur ma sculpture et beaucoup chez moi à écrire, mais, dès que je vais me retourner à mon atelier je ferai tout pour qu'elle vole, ou en donne le désir
bisou
marie
Marie
je ne devrais écrire qu'à l'aube... alors elle me donne le désir de partir avec elle..., commme a travers une fenêtre ouverte sur l'horizon où s'échapperaient de ses mains les oiseaux de nos rêves endormis... vers la lumière, l'absolu, et l'infini...Alors tout pourrait retrouver son fil, le rêve au rêve s'enchaîner, et la vie continuer dans l'oubli...
à Sven
Les sculptures sont des fenêtres ouvertes, l'écriture aussi..." le vent se lève ,il faut tenter de vivre " nos rêves devant nous pour l'élan , pour le premier pas, pour déployer nos ailes...le soir on a le droit de se poser...mais sur une branche seulement, les racines nous poussent si vite à nous autres humains
baisers
marie
ET pourtant.... pourtant....
lorsqu'elle s'envole et qu'il n'y a plus rien pour poser le pied la vie lui offrira moins de marchepieds à l'élévation de son âme.... je préfère sisyphe seul dans son désert avec son caillou dans la bouche.... et sa soif humaine.
SVEN
Rédigé par : sven | 27 juin 2006 à 17:21
ça me fait étrangement penser à ce texte, noté un jour, et que j'avais lu ici, si ma mémoire est bonne. Ce texte qui me trotte dans la tête et que j'aimerais bien interpréter en peinture... Mais là, ça pourrait bien être une interprétation sculptée.
"Dans le dos des femmes, il y a toujours la place pour que poussent deux ailes... après, c'est comme pour tout... il faut des dispositions..."
Bravo et bises !
Rédigé par : Léonor | 27 juin 2006 à 19:02
à sven
j'aime à penser que Sisyphe dans ses rêves vole, lui aussi, mais tu verras elle volera comme volent les humains, sur les hasards de la vie, sur tous les désirs d'envol que la vie nous offre
marie
à Léonor
On verra , je travaille peu sur ma sculpture et beaucoup chez moi à écrire, mais, dès que je vais me retourner à mon atelier je ferai tout pour qu'elle vole, ou en donne le désir
bisou
marie
Rédigé par : marie | 27 juin 2006 à 20:48
Marie
je ne devrais écrire qu'à l'aube... alors elle me donne le désir de partir avec elle..., commme a travers une fenêtre ouverte sur l'horizon où s'échapperaient de ses mains les oiseaux de nos rêves endormis... vers la lumière, l'absolu, et l'infini...Alors tout pourrait retrouver son fil, le rêve au rêve s'enchaîner, et la vie continuer dans l'oubli...
Rédigé par : sven | 28 juin 2006 à 08:00
à Sven
Les sculptures sont des fenêtres ouvertes, l'écriture aussi..." le vent se lève ,il faut tenter de vivre " nos rêves devant nous pour l'élan , pour le premier pas, pour déployer nos ailes...le soir on a le droit de se poser...mais sur une branche seulement, les racines nous poussent si vite à nous autres humains
baisers
marie
Rédigé par : marie | 28 juin 2006 à 14:10