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25 février 2007

Commentaires

alain

Louis : « Joubarde »
Antoine : « joue parce que douce comme une joue d’enfant, barde parce qu’elle peut faire raconter des histoires ».
Alain

G.

soit une varieté d'Echeveria agavoides ou une E. halbingeri, vraisemblablemnet hybridée. Très florifère ... si bien traiteé! Donc, vaut mieux la caresser!

Daniel

Profondeur des eaux
Une pointe de feu
Succulence

marie

Sur le moment je me suis dit...Damned!!!nos botanistes ne sont pas d'accord!!!
Joubarde pour l'un, Echeveeeeeeeeeria agaaaavoooides pour l'autre....
je m'apprêtais à me retrancher dans le camp d'Antoine, ou de Daniel ... où je me sentais plus en sécurité.. quand j'ai décidé de ne pas céder à la panique et d'aller voir sur Google ....ouf!! vous m'avez fait peur c'était la même chose.....
Bon en tout cas merci j'ai encore appris quelque chose, moi, ce soir....

Ps: à Monsieur G: promis! si je la vois de nouveau, je la couvrirai de caresses!
à Antoine " tu sais.... heureusement qu'on connaît pas les noms de toutes les choses ça permet aux botanistes de nous épater!"
à Alain quelque chose que j'aime bien chez Monsieur Louis c'est son économie de mots!
à Daniel
"Succulence" j'adore ce mot...
à Monsieur G: au fait! ça ne pique pas?
la joubarde alias Echeveria agavoide...parce les caresses je suis pour mais si ça pique....moi je l'ai juste photographiée je l'ai pas touchée....je le jure!!!!

plein de baisers à vous
marie

marylene

oui, il s'agit bien d 'une plante qui fait partie de la grande famille des succulentes!c'est vraiment,je trouve , un mot fait pour vous.

marie

à Marylène
merci de ta visite, et de ton petit mot...tu reviendras?
bisou
marie

gmc

EXPLORER L'INTERIEUR

La peau des femmes est une nuit
Couverte d'ornements et paillettes
Au coeur de l'ouvrage resplendit
Un point lumineux et sylvestre
Les doigts du napalm s'en souviennent
Et caresse son antenne évidente
Au toucher l'eau s'embrase dans un cri
Développant des ondes concentriques
La succulence s'ouvre à l'aubade
Dans une fine pluie de printemps
Des frissons pourpres balaient les bosquets
Et l'aubépine dévergonde les flots
Le vent chaud porte la rumeur
Au-dessus des combles sauvages
Dans la respiration multiplexe
Les arômes reviennent aux essences
Brises devenant alizés
Préludes à ouragans et tornades
Des moussons mauves ambrent les contours
D'aromates mouillés
La mer devient océan
Que survole un papillon étonné
Au milieu d'un magma vibrant d'harmonie
Au plus profond d'une alvéole ouverte
Repose le coeur du cosmos
Qu'un flot lumineux vient embrasser
De sa fragrance émondée de flot torride
Qui atomise l'arc-en-ciel
Dans un enlacement troublant

gmc

juste une idée au passage: vous êtes sculpteuse, sculptez donc les mots que le poète vous offre.

bien à vous

marie

Il en est des poètes comme des sculpteurs
ils ne créent que ce qu'ils possèdent...
merci pour ce poème
pour ce qui est de sculpter les mots que vous offrez j'y pense...promis
bisou
Marie

gmc

les poètes ne possèdent rien, chère amie, c'est là tout leur privilège (et il est grandiose).
si jamais vous les sculptiez, faites signe, le résultat devrait vous considérablement vous impressionner...

D'acc Vanne-or, jet d'ail de la Farce

Je trouve que M. G est très "au point"
(il dit qu'il faut la caresser) et moi je trouve que c'est bien de caresser la fleur de Monsieur G.

Nanèreuuu
bon, hop, je file goûter mouah.

ZZZZzouuumm !!

ziboux !!

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